Et si vous n’aviez pas encore tout essayé pour aller mieux ?
Médecine, psychologie, neurosciences, quantique : Vous êtes bien plus que votre symptôme
On entend tout. Et son contraire. Ce qu’on devrait faire. Ce qu’on ne devrait pas croire. Les “vrais” professionnels, les “charlatans”, les médecines “alternatives”…
Et si on arrêtait de choisir des camps pour commencer à croiser les regards ?
Introduction : arrêter la compétition entre disciplines
Dans notre société moderne, chaque discipline semble avoir monté son camp. La médecine d’un côté, la psychologie de l’autre, la neuroscience en embuscade, et la quantique qui flotte dans les airs, mystique ou perchée selon les croyances. Mais tout cela repose sur un malentendu : ces sciences ne sont pas concurrentes. Elles sont complémentaires. Elles parlent toutes de nous, de notre corps, de notre esprit, de notre santé. Elles parlent juste différemment.
Je crois que la guerre est perdue quand on choisit un seul angle. Et parfois, même la mort n’est pas la fin. Parce que ce qu’on n’a pas réglé, nos enfants risquent de le porter. Ce que la médecine n’a pas vu, ce que la psy n’a pas su entendre, ce que la conscience n’a pas libéré… se transmet. Alors pourquoi choisir un camp, quand on pourrait ouvrir toutes les portes ?
La médecine : l’urgence, le visible, le réparable
La médecine est essentielle. Quand un incendie déclare, c’est elle qui arrive avec l’extincteur. Elle répare, elle coupe, elle anesthésie, elle remplace. C’est rapide, concret, extérieur. Et ça sauve des vies.
Mais la médecine agit sur le corps. Le symptôme. Et parfois, ça ne suffit pas. On soigne une toux. Elle passe. Et elle revient. Encore. Et encore. Le corps parle, mais si on n’écoute pas la langue émotionnelle ou énergétique derrière, on se contente de couper les alarmes. Ça fonctionne, mais temporairement.
Prenons un exemple simple : une personne fait des crises de peau à répétition. Eczéma, urticaire, psoriasis. Le médecin prescrit une crème, un antihistaminique, un corticoïde. La poussée s’arrête. Mais quelques semaines plus tard, une nouvelle zone est touchée. Le symptôme s’est déplacé. Comme si le corps disait : « Tu m’as fait taire ici, alors je parle ailleurs. »
La médecine, dans ces cas-là, fait son travail : calmer l’urgence, réduire l’inflammation, offrir un répit. Et c’est indispensable. Mais si on n’en reste qu’à cela, on peut vite tomber dans une spirale : traiter les conséquences, sans jamais questionner la cause. Et c’est là que les autres approches deviennent précieuses.
La psychologie : cogiter n’est pas guérir
La psychologie s’associe souvent à la médecine. Elle questionne, analyse, cherche le pourquoi. Elle invite à remonter dans le passé, à explorer les schémas, à poser des mots. Mais elle reste, souvent, dans le mental. Elle fait penser. Et parfois, ça tourne en rond.
J’ai entendu des gens dire : « C’est bon, je vois un psy. » Comme si le fait de consulter garantissait une transformation. Comme si voir un psy était une assurance tous risques : « C’est bon, je peux avoir un accident, je suis couvert. » Voire : « Je peux provoquer l’accident, je suis couvert. »
Mais aller chez le psy, ce n’est pas suffisant. Le travail reste à faire. Et parfois, le psy renforce même le mental au lieu de le traverser. On intellectualise sa douleur. On l’explique, on la comprend… mais on continue à la porter.
C’est un peu comme si un bateau avait une fuite, et qu’au lieu de réparer, on passait notre temps à dessiner des plans de la coque pour expliquer pourquoi elle a cédé. Utile, certes. Mais pas toujours libérateur.
La psychologie a une immense valeur. Elle peut ouvrir des portes, donner du sens, remettre du lien. Mais si elle n’est pas couplée à une volonté de transformation, de mouvement, elle peut devenir un refuge intellectuel. Et parfois, on se cache derrière ses blessures plutôt que d’en guérir.
La neuroscience : accéder à nos ressources profondes
La neuroscience nous propose un dézoom. Elle montre que le cerveau peut changer. Qu’il peut se reprogrammer, créer de nouveaux circuits, fabriquer ce dont on a besoin. Elle nous ramène à l’intérieur. Elle nous dit : « C’est là que ça se joue. »
Et c’est souvent là que le problème commence : car c’est justement notre intellect qui a créé nos blocages. Nos croyances. Nos maladies. Alors on veut guérir avec ce même intellect. On veut se sauver avec ce qui nous a empoisonné. On veut que le mental soigne les blessures qu’il a lui-même déclenchées.
Mais le cerveau est plastique. Il apprend, il modifie, il adapte. Une croyance limitante, un traumatisme, une réaction émotionnelle peuvent être reprogrammés. Pas supprimés, non — mais dépassés, transformés, reconfigurés.
Pense à un éclair au chocolat. Rien que d’y penser, ta salive se met en route, ton estomac se prépare. Maintenant pense à un événement traumatique. Ton cœur s’accélère, tes muscles se tendent. Rien n’est réel, mais tout est vécu. Le cerveau ne fait pas toujours la différence entre le réel et l’imaginaire. Il réagit à ce qu’on lui montre. C’est une force immense… mais encore faut-il savoir l’utiliser.
La quantique : l’invisible qui agit
La physique quantique vient encore agrandir le champ. Elle montre que l’observateur influence ce qu’il regarde. Que la matière est influencée par la conscience. Que l’énergie peut voyager. Qu’une pensée ici peut provoquer un effet ailleurs.
C’est le monde de la magie, mais avec des équations. C’est l’effet papillon, mais validé par les plus grandes têtes de la physique. Ce n’est pas de la croyance, c’est un autre langage.
Et si on voulait faire un lien simple avec ce qu’on connaît tous : on sait que nos oreilles entendent entre 20 Hz et 20 kHz. Tout ce qui dépasse, ce sont des ultrasons. On accepte que les animaux entendent ce que nous n’entendons pas. On utilise même des appareils à ultrasons pour faire fuir les moustiques ou éloigner les jeunes avec des sons que seuls eux perçoivent. On n’entend rien… et pourtant ça agit.
Alors pourquoi serait-ce différent pour ce que l’on voit ? La lumière aussi est une onde, avec ses fréquences. Il y a des couleurs que nos yeux ne captent pas. Il existe donc bel et bien un monde invisible… que certains perçoivent peut-être autrement : une sensation qui glace le sang, une présence, une intuition. Le corps, lui, capte des ondes par le ressenti, le kinesthésique. Ce monde invisible existe, même si on ne peut pas toujours le mesurer.
La physique quantique ne dit pas qu’il suffit de penser pour guérir. Elle dit qu’il existe des interactions subtiles, des champs d’information, des influences croisées. Elle nous pousse à sortir du linéaire. À considérer qu’un autre niveau de réalité existe.
Tout ouvrir, tout aérer, tout utiliser
Je vois ces disciplines comme les pièces d’un appartement. Tu ne restes pas enfermé dans une chambre quand tu es malade. Tu ouvres toutes les portes, toutes les fenêtres. Tu fais circuler l’air, la lumière, les informations. Tu crées du mouvement. Et souvent, c’est à ce moment-là que les choses changent.
Rien n’est écrit. Tant qu’une personne est en vie, et qu’elle l’a décidé, on peut explorer. Essayer. Combiner. Ça ne marchera peut-être pas. Mais l’échec, ce n’est pas d’avoir essayé. C’est d’avoir renoncé.
Guérir, c’est peut-être simplement ça : remettre du mouvement. Circuler entre les disciplines. Accepter que chaque prisme éclaire un angle différent. Se dire que ce qu’on ne comprend pas encore n’est pas pour autant inutile. Et surtout, refuser de figer son regard.
Un cas concret : une porte laissée ouverte
Je me souviens d’une patiente atteinte d’une maladie auto-immune. Lors d’un stage que j’animais, elle a fini par identifier l’origine de ses symptômes. Quelque chose vécu dans l’enfance, une scène mal comprise, une blessure restée ouverte pendant des années. En retraçant le fil, nous avons pu retrouver le moment exact où tout avait commencé. Elle a revu la scène, avec ses yeux d’adulte cette fois. Elle a compris. Corrigé. Et pardonné.
Le tout a pris entre 30 et 45 minutes. Une bascule complète. Une semaine plus tard, je l’ai croisée, ses cheveux avaient déjà commencé à repousser. Quelques mois plus tard, elle était en rémission. On ne s’est jamais revus pour un accompagnement. Seulement de manière informelle.
Mais un an après, ses symptômes sont revenus. Elle est allée à l’hôpital : tout allait bien sur le papier. Pourtant, elle a redeclenché sa maladie. Pourquoi ? Parce qu’un événement l’avait à nouveau blessée. Parce qu’inconsciemment, elle avait repris le vieux mécanisme : se punir elle-même pour faire payer l’autre. Elle avait pardonné, oui. Mais elle n’avait pas consolidé. Pas poursuivi le travail. Pas demandé d’aide au moment où c’était nécessaire. Et c’est souvent là que ça se joue : les gens espèrent une séance miracle. Mais guérir demande de la constance. De l’engagement. Du courage aussi.
Comment ouvrir tous les prismes quand on est malade ?
Voici cinq pistes concrètes pour ne pas rester coincé dans un seul cadre d’analyse :
- Changer de vocabulaire. Ne parle pas seulement de « maladie », mais aussi de « message du corps », de « signal », de « déséquilibre ». Ce glissement ouvre déjà une autre perspective.
- Consulter plusieurs types de professionnels. Tu peux voir un médecin pour poser un diagnostic, un thérapeute pour explorer le vécu émotionnel, un énergéticien pour rééquilibrer l’invisible… Tu n’as pas à choisir entre eux. Tu peux les assembler.
- Observer ce qui revient. Une douleur récurrente, une fatigue chronique, une situation qui se répète : pose-toi la question du sens. Pas dans une logique magique, mais symbolique. Qu’est-ce que ça vient réveiller ?
- Tester sans forcément tout comprendre. L’acupuncture, la méditation, l’hypnose, la photostimulation, la cohérence cardiaque… Tu n’as pas besoin d’y « croire » pour essayer. Le corps réagit parfois avant la tête.
Créer une équipe intérieure. Imagine-toi avec un médecin en blouse blanche, un psy, un coach, un chaman… tous autour d’une table. Leur point commun ? Ils veulent ton bien. Et toi, tu es à la présidence. C’est toi qui écoutes, qui arbitres, qui choisis ce qui te parle.
Pourquoi ça dérange autant ?
Parce que ce que l’on ne comprend pas, on le rejette. Parce que certaines vérités bousculent nos repères. Parce qu’admettre que l’esprit influence la matière, c’est remettre en cause des siècles de pensée cartésienne. Et ça, c’est inconfortable.
La médecine a été construite sur l’observable, le mesurable, le prouvable. La psychologie aussi, dans une certaine mesure. Mais la quantique, elle, parle d’invisible. D’intention. De potentiel. C’est une autre langue. Et ceux qui ne la parlent pas crient à l’illusion.
Mais n’est-ce pas justement là que le progrès commence ? À l’endroit précis où l’on accepte de douter. De réinterroger. De croiser les approches. Ce n’est pas un combat entre rationnel et irrationnel. C’est une passerelle.
Il suffit de voir comme certains scientifiques parlent de “dérives pseudoscientifiques” dès qu’on évoque la mémoire cellulaire, la méditation ou l’effet placebo. Le réflexe, c’est souvent la moquerie. Et pourtant, combien d’études désormais valident ces approches ? L’ouverture prend du temps. Mais elle est déjà en marche.
Conclusion : changer de regard pour changer de réalité
Ce n’est pas une seule science qui sauve. Ce n’est pas un seul regard qui éclaire. C’est l’alliance, l’écoute, l’ouverture. C’est le mouvement, la curiosité, la foi dans ce qu’on ne connaît pas encore.
Il existe en chacun de nous des zones inexploitées, des ressources dormantes, des capacités qu’on ne soupçonne même pas. Ce qu’on ne voit pas ne veut pas dire que ça n’existe pas. Ce qu’on ne comprend pas ne veut pas dire que c’est faux.
Tant qu’il y a de la vie, il y a un chemin. Et souvent, ce chemin commence par un simple changement de regard.
Moi, je ne détiens pas la vérité. Mais j’accompagne celles et ceux qui veulent la chercher. À leur rythme. À leur façon. Avec douceur, respect, et profondeur.
Et si ce changement de regard, on l’appliquait aussi à notre façon d’enseigner, de soigner, d’écouter ? Et si l’école, l’hôpital, le travail intégraient aussi bien le corps que l’esprit, la logique que l’émotion, la matière que l’énergie ?
Ce n’est pas une utopie. C’est peut-être la prochaine étape. Une médecine plus humaine. Une science plus sensible. Un monde où l’on soigne sans oublier d’aimer.
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